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 La lumière ne se fait que sur les tombes • Hamza K. Næss

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Hamza K. Næss
Hamza K. Næss

Messages : 23
Date d'inscription : 24/04/2011
Age : 30
Pseudo : Musa

Personnage
Âge: 19 ans
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La lumière ne se fait que sur les tombes • Hamza K. Næss Vide
MessageSujet: La lumière ne se fait que sur les tombes • Hamza K. Næss   La lumière ne se fait que sur les tombes • Hamza K. Næss Icon_minitime104.05.11 16:15

TERMINÉE / EN COURS

NAESS Hamza Karsten
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© Faraway (ft. Ash Stymest )
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Surnom(s) | Le « Puceau ».
Âge | 19 ans.
Nationalité | Norvégienne.
Origines | Norvégienne.
Anniversaire | 9 janvier.
Groupe | Vihainen.


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La lumière ne se fait que sur les tombes • Hamza K. Næss 5yyu68


© AdAstra

« Divine Anarchie, adorable Anarchie, tu n'es pas un système, un parti, une référence, mais un état d'âme. Tu es la seule invention de l'homme, et sa solitude, et ce qui lui reste de liberté. Tu es l'avoine du poète. A vos plumes poètes, la poésie crie au secours, le mot Anarchie est inscrit sur le front de ses anges noirs ; ne leur coupez pas les ailes ! La violence est l'apanage du muscle, les oiseaux dans leurs cris de détresse empruntent à la violence musicale. Les plus beaux chants sont des chants de revendication. Le vers doit faire l'amour dans la tête des populations. A l'école de la poésie, on n'apprend pas: on se bat. Place à la poésie, hommes traqués ! Mettez des tapis sous ses pas meurtris, accordez vos cordes cassées à son diapason lunaire, donnez-lui un bol de riz, un verre d'eau, un sourire, ouvrez les portes sur ce no man's land où les chiens n'ont plus de muselière, les chevaux de licol, ni les hommes de salaires. N'oubliez jamais que le rire n'est pas le propre de l'homme, mais qu'il est le propre de la Société. L'homme seul ne rit pas ; il lui arrive quelquefois de pleurer. N'oubliez jamais que ce qu'il y a d'encombrant dans la morale, c'est que c'est toujours la morale des autres. Je voudrais que ces quelques vers constituent un manifeste du désespoir, je voudrais que ces quelques vers constituent pour les hommes libres qui demeurent mes frères un manifeste de l'espoir. »
Léo Ferré, Préface


« Jbouffe' la chatte de ta grand-mère, mec. »
Hamza, malgré sa vulgarité naturelle, son allure liant le punk et métal dans la plus sombre des naissances, son visage mi-androgyne mi-désinvolte, est un jeune-homme doté d'une rare bienveillance et d'une intelligence inestimable. En effet, jouissant d'un parcours scolaire exemplaire il eut ses diplômes avec une facilité déconcertante, aspirant à devenir un avocat célèbre et anticonformiste. Studieux, cultivé, rusé, il excelle au gré de ce milieu intellectuel, ce dernier lui inspire une profonde fascination. Toujours en soif de savoir, il recherche constamment à définir l'absolu, ce qui est indéfinissable. L'ignorance n'est guère un passe-temps qu'il affectionne, l'ignorance est faiblesse pour lui, d'où son grand intéressement pour la psychologie humaine, le plus mystérieux secret de ces temps, tellement imprévisible, tellement funeste. Néanmoins, il n'en reste pas moins un vigoureux anarchiste dans l'âme, méprisant avec ardeur la société actuelle et surtout le système médicale, sentiment résultant de l'incompétence certaine du gouvernement en ce qui concerne l'entretien de ses malades. Guérir certes ! Survivre certes ! Hélas, guérir, survivre, mourir, à un prix. Sa mère souffrant d'une tétraplégie, ils sont confrontés à maints problèmes financiers faute de l'égoïsme de leur pays, quelques aides sont présentes mais, trop insuffisantes. Alors, Hamza se voit dans l'incapacité d'agréer à cette politique qu'il considère rétrograde, voué à une miséreuse rébellion sociale. Le jeune-homme possède ainsi son avis découlant de faits réels et vécus. A défaut d'être d'un naturel impulsif, il nourrit cependant une haine intérieure, sauvage, bestiale et sanglante. La sensation d'être incapable d'établir avec exactitude une analyse sur cette horrible douleur, l'obsède, lui poignarde violemment l'âme et le corps. Une sorte de mutisme de tous les instants, une torture bien silencieuse, langoureuse et inévitable. Ce côté « animal, hargneux, dangereux » qui ne demande qu'à s'extirper de sa ténébreuse prison, Hamza le combat un peu plus chaque jour, duel sans fin qui engendrera la mort des deux parties. Car, le jeune-homme est quelqu'un de bien, il ne souhaite guère devenir semblable à son géniteur, un individualiste méprisable et insensible. La peur de se transformer en un monstre de l'humanité est un des précurseurs du mal-être de Hamza, c'est une triste certitude. De plus, son agressivité concentrée et pour le moment maitrisée, oblige le Jouvenceau à croire en la déplorable idée qu'il y a nombreux risques pour qu'il termine comme son père, les premiers symptômes sont omniprésents. Alors c'est au cœur de craintes et batailles constantes qu'il existe sur cette foutue planète. Notamment, Hamza étant une personne renfermée sur elle-même, il n'exprime jamais ses divers soucis, ressentiments, à ses amis ou encore sa mère. Il le devrait, cela le libérerait pendant le temps d'une conversation, l'apaiserait éventuellement. Mais non, il persiste à ne rien dévoiler, s'engouffrant toujours un peu plus au gré des tréfonds abyssales de son malheur. En réalité, il n'en voit point l’intérêt alors que si, il y en a un et pas des moindres. Cela dit, la communication est loin d’être une qualité tenue pour acquise chez ce dernier. Il est vrai qu'en compagnie de ses plus vieux et fidèles amis, il paraît tout à fait sociable, amical et amusant toutefois, en présence d'individus qu'il ne connait guère ou côtoie depuis peu, Hamza est taciturne, abordant une allure de mec « coincé », cela vient tout simplement de sa timidité innée. Nonobstant, c'est un homme incroyablement gentil, il pourrait se sacrifier pour les gens qu'il aime, il l'a déjà fait auparavant, oubliant son rêve d'université pour venir aux besoins quotidiens de sa mère, s'occupant d'elle d'une façon aimante et méticuleuse ainsi que l'entretient de la maison, c'est un enfant admirable, très courageux en un sens. Ouais, c'est un bon petit gars. Il est tendre, doux et affectueux, un personnage vraiment attachant, bien que ses dires et actes vulgaires gâchent un peu le tableau du gamin propre sur soi. Avec la bande malfamée du coin, il est très bien capable de montrer ses fesses à qui veut bien les voir – ou pas –, balancer de superbes « fuck's fornicateurs » aux vieillards séniles, et cætera. Hamza sait se comporter en désagréable petit con qui constitue cette glorieuse nation, ça l'amuse en réalité, cet excès débauché et irrespectueux. Fort heureusement, il reste quelqu'un de responsable, connaissant à la perfection ses limites, il n'ose que très peu les franchir et donc, n'abuse guère de l'alcool, drogue, entre autre. Par contre, fume en énorme quantité ses délicieuses gitanes. De toute façon, il se doit d'être dans un état convenable devant sa mère le lendemain d'une soirée, cela est une nécessité, ne serait-ce que pour le bien-être de sa « maman ». Parfois, il préfère s'exiler dans sa chambre, écoutant un de ses groupes de métal, punk ou encore reggae favoris tout en appréciant un grand livre d'auteur, un recueil de poème. Son quotidien est une accumulation de tâches, de fêtes, d'instants paisibles, de moments partageaient avec sa génitrice et ses amis, cependant il trouve tout de même le temps d’exercer son emploi de serveur avec plus ou moins d'assiduité.

Hamza est tristement « célèbre » pour sa virginité, ce qui lui vaut ce somptueux surnom – ironie - : le Puceau. Il eut nombreuses occasions, une fois trop d'alcool ingurgité, il peut s'avérer être un séducteur hors paire, ivre, défoncé, c'est jeune-homme beaucoup plus « ouvert d'esprit » et surtout, beaucoup plus sociable même avec les inconnus. Mais, il n'alla jamais plus loin que les préliminaires, ayant même honte de certaines lugubres histoires, il abandonna l'idée de se faire dépuceler par une pétasse stone. De plus, c'est un sentimental, le désir est là, celui de perdre sa « petite fleur délicate » avec une damoiselle qu'il aimerait ou du moins, apprécierait un minimum. Ainsi, Hamza subit les humiliations courantes de ses amis, les blagues sur sa virginité et les surnoms désobligeants. De plus, il est vrai que le jeune-homme ne possède aucune autorité, il se laisse totalement marcher sur les pieds par ses amis, par tout le monde, mis à par quelques individus en réalité. Il essaye parfois de s'affirmer dirais-je, hélas, souvent ses efforts sont vains le pauvre.

L'amour avec un magistral « A ». Sentiment volage, incertain pour beaucoup d'individus de dix-neuf ans. Après tout, sommes-nous capable d'aimer réellement une personne à l'aube de sa vie active ? Sommes-nous seulement capable d'aimer avec passion une personne tout court ? L'amour est un sentiment courant chez l'humain, il apporte bonheur et malheur, plaisir et déplaisir, violence et douceur, l'amour est un paradoxe à lui seul. Parfois, il peut s'avérer sincère. L'amour qui brûle vos entrailles les plus abyssales, l'amour qui vous obsède et hante vos nuits de langoureux cauchemars, l'amour qui dévore votre Raison jusqu'à ne devenir qu'une âme dépendante d'un gourmand sentiment. L'amour honnête est l'amour cruel. Car seul dans la douleur, l'humain, peut espérer éprouver la jouissance. L'espèce humaine bien qu'elle n'ose le reconnaître, apprécie s'auto-mutiler le cœur, car notre race doit posséder entre ses mains les sensations les plus fortes et violentes pour affirmer être une race sentimentale. L'Humain incarne par procuration avec la haine, l'Amour. Hamza croit en cet amour, l'avis exposé ci-dessus, l'Amour lui inspire nullement de fabuleux souvenirs, l'Amour lui crée uniquement de chaudes larmes. L'Amour est la destruction, la crise existentielle d'Hazma et, ce depuis tellement d'années. Ne serait-ce que pour son amour éprouvé envers sa Mère malade, il ne lui procure rien d'autre que du désespoir. Ou l'amour ressentit pour cette jeune-femme inaccessible, qui lui ne lui procure que souffrance. En effet, une des choses les plus malheureuses chez Hamza est, sans aucun doute, son amour irrépressible et inavoué envers la magnifique : LESŁAW Luiza Adrianna. Cette passion dure depuis quelques mois, ce n'est guère un romantique dans l'âme pourtant, il tomba éperdument amoureux de cette jolie blonde la première fois qu'il la vit. Aujourd'hui, il n'a toujours pas osé annoncer ses sentiments, il n'est même pas capable d'entretenir une conversation avec cette dernière sans paniquer intérieurement. Effectivement, pas besoin de le dire, il se trouve pitoyable en face de la Belle. Luiza étant la copine de son meilleur ami, Kaspar, il est évident qu'Hamza se torture pour rien, elle ne lâchera jamais son copain actuel pour lui. Cela serait trop beau pour être vrai, la Vie ce n'est pas un conte de fée ou une série américaine niaise pseudo dramatique. Hamza se force à oublier la jeune-femme, il y arrivera, ce n'est plus qu'une question de temps. Et enfin, il se rendra compte que son existence est beaucoup plus... Tolérable, sans ses sentiment ridicules.

Ainsi est Hamza, bien que nombreux secrets demeurent sur sa personnalité, il n'est qu'à l'aube de sa vie après tout, il se cherche encore et espère se découvrir un jour ou l'autre.
L'existence de Hamza en récapitulatif c'est :
Une mère malheureusement handicapée, un sœur ingrate, une envie profonde de meurtre envers son père. Une gueule d'un gosse de quinze piges alors qu'il en a dix neuf, des filles du coin qui le croient gay (car il est trop « trop gentil et timide » pour être hétéro' apparemment) alors qu'il ne l'est guère, une virginité oppressante et lassante. Une bande d'amis d'enfance, dont deux potes qui baisent sa sœur, un amour fou pour la copine de son meilleur ami, une jolie blonde qui l'insulte dès qu'il stoppe au moment où il doit la prendre, un fantasme constant sur sa voisine avec qu'il prenait ses bains quand il était mômes, à présent et hélas, les bains avec la fillette devenu la bombe du quartier, c'est un temps révolu. Un boulot qui l'ennuie, une Vie parfois à chier mais qui n'en reste pas moins palpitante. Hamza n'est ni plus ni moins qu'un jeune-homme banal, avec son passé, ses conflits familiaux, ses relations tumultueuses ou non, sa singulière personnalité, son avis sur la société, ses propres expériences foireuses, et ses complexes physiques. Comme dit le proverbe : Qui vivra verra.


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